Italy

There's not so much things I really care about in life. And as a grown man, I have to take care of these things to keep a healthy lifestyle.

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There's my car.

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There's my family.

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There's my church.

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There's my boys.

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There's my girls.

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And there's my wrestling.

And it's about time for me to get it right. I am no transvestite. I am no clown. I am no Santino Marella. I am Anthony Carelli.

» La caméra filme un plan large d'une rue embouteillée. Elle parcours l'agitation de cette rue. Les automobilistes, les commercants, les passants, les bouches d'aérations crachant de la fumée chaude, bienvenue à Little Italy. La caméra qui filmait une épicerie entame soudain un travelling arrière et se rapproche peu à peu d'une source de son, on peut y distinguer une musique. La caméra vient de s'arrêter devant une voiture. On peut voir le conducteur. Il chante.

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Anthony Carelli. Eh la benzina ogni giorno costa sempre di più
e la lira cede e precipita giù. Svalutation, Svalutation ! Cambiando i governi niente cambia lassù
c'è un buco nello Stato dove i soldi van giù. Svalutation, Svalutation !

» Carelli continue à se casser la voix pendant quelques secondes jusqu'à ce qu'il constate que ça n'avancait pas devant lui. Il se met à tambouriner violemment sur son klaxon.

Anthony Carelli. Avanti, stronzo ! Muova il culo !

» On peut entendre l'automobiliste crier "Fuck You !" au loin. Carelli tire une drôle de tête.

Anthony Carelli. Hey, what did you say ? WHAT DID YOU SAY, MOTHERUCKER ?

» On entend "I said fuck you, moron !"

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Anthony Carelli. Hey, tu penses que j'suis ton pote, figlio di putana ?

» L'automobiliste dit "Je te reconnais, t'es le connard de rital qui se déguisait en femme à la télé. T'as pas honte de faire le malin en public ?" A ces mots, Anthony Carelli ouvre la portière de sa voiture. Il va devant la voiture de l'automobiliste qui ferme immédiatement sa fenêtre.

Anthony Carelli. Ecoute moi bien piccolo stronzo, Santino Marella n'était qu'une image, qu'un produit. A ce moment précis, t'essaies de te mettre à dos le grand Anthony Carelli. Hey ! Ecoute moi ! Ouvre ta putain de porte.

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» Carelli frappe alors violemment dans la vitre de la portière arrière de l'automobiliste qui se brise sous son pied. L'italien grimace et hurle.

Anthony Carelli. AAAAAH ! FUCK ! Ca fait mal putain !